Chers Propriétaires,
A la suite du dernier courrier envoyé par la mairie de Pratdip, que certains on reçut par recommandé et que d’autres se sont vu remettre en main propre par un employé de la mairie et à qui on a demandé de signer sans délai, nous tenions à vous donner une explication.
La Mairie ne veut pas prendre en charge les services minimums. Et ils font tout pour ne pas le faire.
Ils veulent nous forcer à faire des travaux comme si l’EUCC existait toujours. Sans aucunes subventions, sans leur aide financière, que nous sommes pourtant en droit d’attendre, et sans l’aide des collectivités locales. A 100% avec votre argent !
Pour valider leur théorie, ils persistent et continuent de nous faire croire que la convention reste toujours valide et que la reparcellisation a été approuvé par la direction de l’urbanisme et le registre de Tarragone.
Sauf que, il y a toujours un obstacle, le bureau des écritures de Falset (registre du cadastre). Qui lui, ne veut pas inscrire et enregistrer le projet de reparcellisation à cause des nombreuses irrégularités qu’il comporte.
Et le pire, c’est que la Mairie n’a toujours pas informé le bureau du registre du cadastre de Falset que l’EUCC était dissoute.
Information que nous nous sommes empressé de communiquer à ce bureau.
Propriétaires de Planas, cela démontre une fois de plus que la mairie de Pratdip, à qui nous payons des charges annuellement (IBI) depuis de nombreuses années, et de qui nous sommes tout à fait en droit d’attendre un minimum de service en retour, n’assume pas du tout ces responsabilités.
Le fait de signer ou non ce document ne change rien. Votre signature ne vaut pas pour acceptation.
Vous avez 30 jours à partir de la date de réception du courrier pour introduire un recours.
Si vous signez, datez-le légalement pour qu’il n’y ait aucune ambiguïté.
12 janvier 2018 : Mise à jour
Nous tenons à préciser que c’est grâce à Monsieur Oscar Serrano, conseiller municipal, qui avait pris un rendez-vous personnel avec un des responsables du registre du cadastre de Falset 48 heures après avoir reçu le courrier de la Mairie de Pratdip, que nous avons pu apprendre que celle-ci n’avait toujours pas averti que l’entité était dissoute. Nous avons pu apprendre aussi qu’un recours contre la Mairie et sa reparcellisation avait été introduit au tribunal de Madrid. Mais qu’également elle n’avait jamais adapté son projet de reparcellisation aux nouvelles normes et lois en vigueur.
Nous voulons également vous faire savoir que la signature et la date que nous apposons à ce courrier signifient seulement que nous l’avons bien reçu et en aucun cas que nous sommes d’accord avec son contenu. Et ceci d’autant moins que le contenu de la lettre est en Catalan et sans doute incompréhensible par de nombreux propriétaires. A ce sujet il y a deux langues officielles en Catalogne, le Catalan et le Castillan, nous serions donc fondés d’exiger de la Mairie qu’il traduise cette lettre Castillan.
SOS Planas
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